Une étude récente présente comme dangereux le principe de jeûne alternatif. Avec un biais évident: les personnes observées utilisaient la méthode pour se soigner, donc en plus mauvais état que la moyenne. Copie entièrement à revoir …

Une étude récente présente comme dangereux le principe de jeûne alternatif. Avec un biais évident: les personnes observées utilisaient la méthode pour se soigner, donc en plus mauvais état que la moyenne. Copie entièrement à revoir …
Au delà de la perte de poids, critère recherché en priorité dans cette restriction alimentaire, c’est toute une partie du métabolisme qui est modifié, en particulier les phénomènes inflammatoires, facteurs de vieillissement et de cancérisation.
La ménopause est un cap difficile, où près de la moitié des femmes prennent du poids (4,6 kg en moyenne).
Le problème est que la graisse :
Dans le ventre, c’est la fameuse « graisse viscérale », la pire de toutes. Elle se met autour des organes. En plus d’être très inesthétique, elle accroît le risque de pratiquement toutes les maladies, y compris le cancer, et en particulier le cancer du sein, terreur des femmes ménopausées.
Selon le spécialiste Chris Kresser, les bienfaits du jeûne intermittent sont tout à fait en phase avec les besoins de la femme en ménopause:
Source: Santé Nature Innovation
L’eau est omniprésente dans l’organisme, sous forme circulante (sang, lymphe, liquide céphalo-rachidien), sous forme extra-cellulaire (c’est l’eau du conjonctif), et sous forme intracellulaire, où les molécules sont comprimées et forment un réseau dont on est loin de connaître tous les secrets…
Source Effervesciences
Le mucus, c’est ce reliquat métabolique qui s’accumule dans tous les tissus, et qui obstrue une bonne partie de notre réseau capillaire. Ls régimes Ehret sont tout à fait efficaces pour éliminer ces dépôts. Le jeûne ne fait qu’en augmenter les effets.
Qu’il s’agit de la période inter-repas, ou d’un jeûne intermittent, notre corps économise l’insuline et au contraire, produit glucagon et noradrénaline, ce qui fait remonter le taux de glucose, immédiatement disponible (muscles, cerveau) et non stocké dans les tissus adipeux ….
Après un jeûne (intermittent ou prolongé), la reprise de poids dépend du nouveau fonctionnement de l’organisme suite à cette épreuve. Le taux métabolique représente la nouvelle donne , qui orientera la physiologie post jeûne. L’activité physique est le meilleur moyen de gérer ce taux métabolique.
Des scientifiques ont en laboratoire reconstitué l’environnement malgache de petits lémuriens: on peut ainsi en jouant sur la température, l’éclairage et la nourriture, observer les réactions de ces “champions du jeûne’ (jusqu’à 7 mois par an en hiver). Et ainsi mieux comprendre les secrets du jeûne.
Nos repas du matin n’ont pas toujours été à base de café au lait, pain beurré et confiture. Ils étaient pris au petit matin, avec des ingrédients protéiques, suivis d’un en cas vers 10h, un repas de midi vite envoyé, et un repas du soir enfin conséquent. Donc pas du tout dans le sens de l’adage « repas du matin de roi, de midi de prince, du soir de pauvre ». Ces repas étaient conçus pour des modes de vie plutôt physiques, avec un temps de travail de 8 heures au moins, et sans la télévision au foyer. Et puis les choses ont changé…
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