L’étude biaisée sur le jeûne intermittent.

Une étude récente présente comme dangereux le principe de jeûne alternatif. Avec un biais évident: les personnes observées utilisaient la méthode pour se soigner, donc en plus mauvais état que la moyenne. Copie entièrement à revoir …

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Comment le jeûne intermittent limite les inflammations.

Au delà de la perte de poids, critère recherché en priorité dans cette restriction alimentaire, c’est toute une partie du métabolisme qui est modifié, en particulier les phénomènes inflammatoires, facteurs de vieillissement et de cancérisation.

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L’eau du tissu conjonctif

L’eau est omniprésente dans l’organisme, sous forme circulante (sang, lymphe, liquide céphalo-rachidien), sous forme extra-cellulaire (c’est l’eau du conjonctif), et sous forme intracellulaire, où les molécules sont comprimées et forment un réseau dont on est loin de connaître tous les secrets…

Tissu conjonctif très hydraté (cartilage). Photo N Mourin

Source Effervesciences

Durant un jeûne court, pas de risque d’hypoglycémie.

Qu’il s’agit de la période inter-repas, ou d’un jeûne intermittent, notre corps économise l’insuline et au contraire, produit glucagon et noradrénaline, ce qui fait remonter le taux de glucose, immédiatement disponible (muscles, cerveau) et non stocké dans les tissus adipeux ….

Jeûne efficace: gérer son taux métabolique.

Après un jeûne (intermittent ou prolongé), la reprise de poids dépend du nouveau fonctionnement de l’organisme suite à cette épreuve. Le taux métabolique représente la nouvelle donne , qui orientera la physiologie post jeûne. L’activité physique est le meilleur moyen de gérer ce taux métabolique.

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Ces petits lémuriens nous apprennent à jeûner

Des scientifiques ont en laboratoire reconstitué l’environnement malgache de petits lémuriens: on peut ainsi en jouant sur la température, l’éclairage et la nourriture, observer les réactions de ces “champions du jeûne’ (jusqu’à 7 mois par an en hiver). Et ainsi mieux comprendre les secrets du jeûne.

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Notre petit déjeuner “café/viénoiseries/confiture” complètement à revoir …

Nos repas du matin n’ont pas toujours été à base de café au lait, pain beurré et confiture. Ils étaient pris au petit matin, avec des ingrédients protéiques, suivis d’un en cas vers 10h, un repas de midi vite envoyé, et un repas du soir enfin conséquent. Donc pas du tout dans le sens de l’adage « repas du matin de roi, de midi de prince, du soir de pauvre ». Ces repas étaient conçus pour des modes de vie plutôt physiques, avec un temps de travail de 8 heures au moins, et sans la télévision au foyer. Et puis les choses ont changé…

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S’il faut garder un seul repas, c’est celui de midi…

S’il ne fallait garder qu’un seul repas quotidien, ce serai sûrement celui du midi, qui survient précisément au pic de nos besoins énergétiques. Dommage, c’est désormais un repas sacrifié, au bénéfice du soir où les nutriments sans utilité immédiate vont forcément s’accumuler en “tissus de réserves”, autrement dit en gras …

On connait tous le vieil adage “mangez comme un roi au petit déjeuner, comme un prince à midi, et comme un pauvre le soir”… Cette recommandation était adaptée pour une civilisation agraire et proto-industrielle, pour des populations se levant tôt le matin, se nourrissant au foyer, et se couchant tôt pour justement être en forme dès 5 h du matin … Chacun des repas, même les plus frugaux, étaient effectués en famille ou en groupes, à horaires réguliers, avec des ingrédients de saison directement issus de l’environnement proche.

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