Le petit déjeuner: un repas très secondaire.

Dans le choix d’un jeûne intermittent, il faut forcément sacrifier un repas. Lequel ? Le Dr Cohen argumente ici le choix du petit déjeuner. Et c’est tout à fait notre méthode avec les raisins, sauf que nous préconisons deux repas à sauter, le matin et le soir …

A écouter attentivement, malgré les interruptions vaseuses de Morandini …

Ce qu’on peut attendre du jeûne

Pratique immémoriale, simple, économique, le jeûne bien compris et bien pratiqué nous apporte des bienfaits cumulés que l’industrie du médicament veut nous vendre au coup par coup…

1 – une perte de poids: le jeûne est le moyen le plus rapide et le moins dangereux de perdre des kilos superflus.

2- un décrassage: le jeûne permet de corriger la surabondance de nourriture, c’est un moyen de se nettoyer l’organisme.

3- une désintoxication: c’est l’un des seuls moyens biologiques effeicaces qui permette d’évacuer des toxines accumulées, toxines internes ou provenant d’un environnement pollué. Un point particulier, celui des “trop-pleins médicamenteux” chez des gens qui se soignent à long cours, ou avec des pathologies différentes … et des médecins différents. Le jeûne permet de “purger” des accumulations de molécules pharmacologiquement très actives et de ce fait indésirables.

4- Une action dermatologique quasi immédiate. La peau, avant de les excréter, accumule dans son hypoderme quantité de substances irritantes, voire toxiques: le jeûne agit comme une crême “de beauté”, il nettoie et embellit la peau.

5 – un effet préventif “anti-âge”, la senescence reposant surtout sur l’accumulation de substances inutiles ou toxiques qui bloquent le bon fonctionnement cde l’organisme. Ceci est vrai pour les fonctions organiques (les reins, le foie, les hormones), mais aussi sur les fonctions nerveuses et mentales (dégénérescences ou neuropathies).

Un traitement: le jeûne est très certainement le traitement le plus efficace de bien des maladies métaboliques, comme le diabète débutant ou des déséquilibres thyroïdiens.

Les petits jeûnes contre l’hypertension

Quand on jeûne, c’est dans un objectif général de santé. Avec quels résultats ? La mesure du poids donne de bonnes indications d’efficacité, mais en surveillant sa tension, on remarque également des progrès importants.

L’hypertension est associée à des dysfonctionnement de l’endothélium, le revêtement interne des vaisseaux sanguins. Ce tissu régule la pression artérielle par la sécrétion de monoxyde d’azote (NO), un gaz aux propriétés vasodilatatrices, et d’endothéline, qui provoque au contraire le resserrement des vaisseaux sanguins.

Quand l’endothélium fonctionne mal, il produit moins de monoxyde d’azote et plus d’endothéline : les vaisseaux sanguins se contractent, la pression sanguine augmente. Une alimentation pauvre en calories chez des personnes obèses souffrant d’hypertension permet de contrer ces dysfonctionnements.

Le jeûne conduit par ailleurs à une augmentation de la production de BDNF (facteur neurotrophique dérivé du cerveau). Celui-ci stimule l’activité du système nerveux parasympathique, qui provoque le ralentissement des grandes fonctions de l’organisme, conduisant notamment à une baisse de la tension artérielle.

Les petits jeûnes (36 heures ou intermittents) ont cette capacité de réguler en quelques cures une tension qui s’emballe. Sans effets secondaires, et avec tous les effets métaboliques et psychiques qui sont autant de bénéfices …

L’émission d’ARTE qui a ébranlé la médecine du cancer

ARTE a l’art de programmer des émissions sur des thèmes scientifiques qui dérangent. Le jeûne, la Médecine le réduisait à des prescriptions purement religieuses. Mais maintenant la Science se trouve devant des réalités chiffrées et sacrément encourageantes.

Cette émission dure près d’une heure, n’en manquez pas une seconde !

jeûne et cancer

Des confirmations pour une méthode simple et efficace

Une hirondelle ne fait pas le printemps. Mais quand elle est attendue par des millions, la moindre des choses serait de l’observer et de la protéger …

L’hirondelle, c’est cette série d’expériences d’un médecin américain, le Dr Valter Longo, prof de gérontologie en Californie, et qui en a publié les résultats dans “Science Translational Medecine”.

L’idée, c’est de vérifier l’argument des “naturalistes” , selon lesquels un organisme qui vient de subir une épreuve, est mieux armé pour en subir une autre, même plus violente.

Dans le cas des cancers, l’épreuve violente est bien sûr la chimio , ou selon, la radiothérapie. Où les cellules normales sont agressées, à un degré moindre que les cancéreuses, mais avec de gros dégats …

Depuis des lustres, les tenants du jeûne clament que cette privation, si elle est bien menée, peut venir à bout de cancers.

Avec toutes les conséquences pénales qui en découlent … ce qui fait qu’on n’a, scientifiquement, peu de documentation solide.

L’étude du Dr Longo vient fort à point.

Déja, dans cette étude, il constate que des cycles de jeûne sans chimiothérapie peuvent ralentir un développement cancéreux sur des tissus divers (mammaire, cutané, cérébral).

Pas guérir, ralentir. Pour autant, il constate un effet.

Puis il lance l’étude, sur huit types de tumeurs injectées à des souris (remarque: ce ne sont pas de “vrais cancers” puisque imposés artificiellement à ces rongeurs. Mais c’est la même méthode employée pour juger de l’efficacité des molécules de chimio).

Au résultat, et pour cinq types de tumeurs sur cinq,  “la combinaison de cycles courts de jeûne avec la chimiothérapie est plus efficace, soit nettement plus efficace que la chimiothérapie seule. Ainsi, de multiples périodes de jeûne combinées à la chimiothérapie guérissent 20 % de certains cancers très agressifs chez les souris de laboratoire. Le taux de guérison grimpe à 40 % pour les souris atteintes de ces mêmes cancers mais moins étendus, tandis qu’aucune souris n’a survécu traitée uniquement avec la chimiothérapie.

Parallèlement, une autre étude (revue Aging), sur dix patientsatteints d’un cancer et qui ont essayé de suivre des cycles de jeûne, ont dit ressentir moins d’effet secondaire provoqués par la chimio.  

Diverses réactions, dans le monde entier, après ces parutions.

Certaines saugrenues, comme ce médecin très docte qui nous dit que cela ouvre la voie à des molécules qui pourraient reproduire le jeûne (authentique!), d’autres nettement plus sérieuses.

Il est un fait: les malades qui subissent des chimios sont déja dénutris, ils s’alimentent mal, et pas du tout dans les jours qui suivent une “mauvaise chimio”. Donc le jeûne, ils le pratiquent malgré eux, pourquoi un jeûne supplémentaire serait bénéfique ? Sinon dangereux ?

C’est le noeud du problème, et il faut revenir aux bases de la biologie.

Il existe une différence fondamentale entre le jeûne volontaire, et la dénutrition maladive.

Dans le jeûne, l’organisme commence par consommer toutes ses réserves de glucides (24 à 36 heures), puis entame la consommation des “réserves” graisseuses. Très vite, le manque de sucres et une acidité des tissus provoquent un stress cellulaire qui permet, soit de mettre en place un système de protection (les protéines de stress) qui vont renforcer les capacités de résistance de ces cellules, soit au contraire, chez les cellules trop vieilles, surchargées ou malades, une apoptose, un suicide cellulaire: en quelque sorte un auto-nettoyage très sélectif de l’organisme, en dehors de toute inflammation, toute souffrance.

Dans la dénutrition, c’est quasiment le contraire: pour des raisons extérieures (intoxications, viroses chroniques, chimiothérapies), l’organisme subit un embrasement inflammatoire, générateur de sustances très agressives (Il1, TNF, prostaglandines, radicaux libres) qui vont attaquer tous les tissus et décimer à l’aveugle, des millions de cellules non pas par apoptose, c’est à dire proprement sans traces, mais par un phénomène mortifère de nécrose, qui s’auto-entretient.

D’où effectivement ces malades amaigris et sans appétit qui dépérissent en particulier à la suite de leur traitement

Sur un plan purement théorique, la pratique du jeûne AVANT une chimio,  est.parfaitement logique: c’est une préparation naturelle à un stress intense, et l’organisme fait déja le tri entre les cellules “condamnées”, et celles qui doivent survivre. Et l’organisme ne se trompe pas, lui !

D’ailleurs (lire Effervesciences 78), des médecins russes ont soigné par le jeûne des centaines de soldats et de pompiers, les sacrifiés de Tchernobyl, qui avaient reçu en radioactivité des doses subléthales: il s’est avéré que ces jeûnes séquenciels entrecoupés de reprises alimentaires, permettaient une bien meilleure élimination des radioéléments sans diurétiques ni corticoïdes …

Les travaux de Valter Longo viennent à point nommé, à un moment où des dépistages tous azimuths (seins, prostate, rectum …) conduisent à des traitements considérables, alors que les organismes sont en excellent état, mais vont risquer le délabrement dès la première chimio / radiothérapie.

Sur ces présomptions de tumeurs, ne pourrait-on pas commencer par des traitements séquenciels de jeûne entrecoupés de chimio métronomique (cycles de traitements à faibles doses d’agents de chimio), le chemin étant tracé actuellement par les vétérinaires? Tout en suivant bien sûr les marqueurs biologiques et les clichés radio ?

Le jeûne a le gros défaut de n’être pas un médicament certifié, authentifié. Il a de plus des connotations religieuses, ce qui l’oppose à une Science agnostique en difficultés …

Mais son efficacité et son économie de moyens sont maintenant sur la place publique.

Jean-Yves Gauchet

Le yin et le yang de votre jeûne

Notre vie est réglée par des cycles, des cycles internes (cycle jour/nuit universel, cycle menstruel des femmes), et des cycles externes comme le cycle des saisons ou le cycle lunaire. Les hommes ont de tout temps remarqué que certains cycles devaient être respectés, que ce soit pour l’agriculture et le jardinage, que ce soit pour notre santé.

Les médecines orientales ont formalisé ces observations en catégorisant nos activités en “yin” et “yang”, au cours desquelles l’énergie qui nous anime sera plutôt centripète (énergie yin, constructive, on peut dire anabolisante) ou au contraire centrifuge (énergie yang de déconstruction, de transformation, on peut dire catabolisante).

Concernant le jeûne, il sera nettement plus efficace s’il est pratiqué à une période où l’organisme est naturellement enclin à se débarrasser (catabolisme) de tout ce qui l’encombre, donc en période yang.

Chez la femme, la période yang correspond à ses quelques jours d’ovulation, sous l’influence des oestrogènes. D’ailleurs, dans la religion musulmane où le jeûne est une pratique très observée depuis des siècles, le jeûne est carrément proscrit pendant les règles (donc bien à l’écart de l’ovulation).

Pour des jeûnes intermittents de trois jours, la période d’ovulation est la plus favorable et la plus efficace. Par contre, éviter de faire une autre cure à contre temps, donc 15 jours plus tard, puisque on sera alors en période yin.

L’influence de la lune a également son importance sur le jeûne. On sait depuis des millénaires que durant la pleine lune, nos sens sont exacerbés, notre métabolisme (montée d’adrénaline et de cortisol: période yang) fonctionne à fond, jusqu’à des stades de déséquilibre: par exemple, les capacités sanguines de coagulation sont diminuées.

Concernant le jeûne, la période de pleine lune est donc tout à fait favorable. D’ailleurs, on peut encore évoquer les préceptes musulmans, qui conseillent le “jeûne blanc” de trois jours lors de la pleine lune: selon la tradition prophétique, “jeûner les trois jours blancs équivaut à un mois entier de jeûne”.

On peut d’ailleurs ici consulter le calendrier des jours blancs pour les années 2020 et 2021: https://www.guide-islam.com/fr/calendrier-jours-blancs/

Le “jeûne de la pleine lune”, très efficace, doit tenir compte des modifications mentales qui l’accompagnent: énervement, impatience… Il est bon de l’accompagner avec des compléments alimentaires relaxants (bergamote, marjolaine). C’est justement la formule des frugalies de type “sereenity”que nous vous conseillons pour ce type de jeûne…

Vous pouvez vous procurer ces raisins apaisants et coupe-faim ici: https://effervesciences.fr/osez-la-frugalite-/129-sereenity.html

Conseils pour l’après-jeûne

Et maintenant ?

Vous avez maintenant l’expérience de cette mini-épreuve, plus mentale que physique … Vous savez désormais que c’est simple, que vous vous en trouvez bien mieux, avec une appréciation nouvelle de la nourriture et plus généralement de vos centre d’intérêt…

Profitez-en pour vous poser quelques questions:

1 – quelles résolutions pour une autre cure ? La semaine prochaine ? Un peu plus tard ? Consultez votre calendrier pour choisir une date adaptée.

2- où en êtres vous du tabac ou de l’alcool ? Vous vous en sentez détaché(e), ne serait-ce pas le moment d’insister et de faire une vraie coupure ?

3 – Votre ressenti alimentaire a changé. La viande n’est plus un besoin physique, vous mettez à apprécier les légumes. Prolongez cette curiosié, il y a mille manières de profiter de ces végétaux délicieux. Et ça peut prendre de votre temps, mais ce n’est surtout pas du temps perdu …

4- La perte de poids … Si vous comptiez perdre des kilos, vous serez peut-être déçu(e). La perte de poids sur les jeûnes intermittents est marginale. Mais vos nouveaux comportements alimentaires (plus de grignotages, repas limités à un plat + un dessert), moins de sucreries, moins de besoin de sel) vont avec le temps prendre le relai très efficacement: le jeûne est un déclic, votre organisme se gèrera tout seul, intuitivement, et efficacement.

Quels sont nos vrais besoins alimentaires ?

Il faut considérer nos apports alimentaires sous l’angle qualitatif (valeur nutritive, vitamines, minéraux, etc), et sous l’angle quantitatif, arbitrairement traduit en Kilocalories…

C’est en mesurant les calories d’une ration, qu’on peut apprécier si cette ration correspond aux besoins, ou bien est hors normes, avec des risques pour la santé.

Pour une activité normale, une femme « consomme » environ 2300 kcalories, chiffre qui atteint 2600 kcalories chez un homme.

Une activité physique (métier pénible, pratique sportive) demande de 200 à 500 kcalories supplémentaires.

Tout apport au delà de ces chiffres est soit réexpédié dans les selles, soit accumulé dans l’organisme.

Notre alimentation moderne n’est pas raisonnable : portions exagérées, ajouts de sucres et de graisses « cachées », boissons-confiseries, grignotages permanents.

 En gros, nous dépassons de 200 à 500 kcalories par jour le quota de nos vrais besoins.

Parmi ces besoins, il en est de vitaux qu’il ne faut pas négliger : l’intestin lui-même, avec sa flore bactérienne, qui a besoin de 200 Kcal pour fonctionner et s’entretenir, et le cerveau, qui consomme 15 à 20% du glucose quotidien, soit encore 250 à 300 Kcal.

Tout le reste du corps peut jeûner pendant des heures et des heures, mais il faut penser à entretenir nos intestins et notre cerveau.

Ainsi, un jeûne raisonnable repose sur des repas réduits à minima (bouillon de légume, tisane, pomme), et la prise régulière de nutriments coupe-faim pour une énergie totale de 450 Kcal : c’est précisément ce qui se passe avec les raisins coupe-faim.

Les limites médicales du jeûne (jeûnes longs)

Le jeûne, c’est dangereux ?

Un adulte de 1,70 m, pesant 70 kg, possède environ 15 kg de réserve de graisse, de quoi tenir, s’il est en bonne santé, une quarantaine de jours de jeûne. Mais au-delà, la poursuite du jeûne consomme les protéines du corps. L’organisme catabolyse certains acides aminés qui peuvent être convertis en glucose au cours de la néoglucogenèse pour approvisionner le cerveau. Or les protéines sont stockées dans les muscles (dont le cœur).

Un suivi médical est vital à partir de la 4e semaine, suivant l’état de santé, les conditions du jeûne et la nature des réserves au départ.

Comme en témoigne l’histoire de 9 détenus de la prison de Cork (Irlande) en 1920, dont le jeûne a duré 94 jours ; l’organisme humain, jeune et en bonne santé, peut arriver à supporter un jeûne total (mais n’excluant pas la prise de liquides), non sans séquelles, pendant une période pouvant aller jusqu’à trois mois. Lors de la Grève de la faim irlandaise de 1981Bobby Sands est mort après 66 jours de jeûne, là ou Kieran Doherty est mort après 73 jours.

Exprimée en terme d’indice de masse corporelle (IMC), une valeur inférieure de 12 à 13 kg·m-2 est en principe synonyme de mort, bien que des récupérations aient été décrites chez des patients adultes jeunes dénutris présentant des IMC de l’ordre de 8 à 9 kg·m-2 . Un jeûne prolongé au-delà d’une certaine durée provoque immanquablement la mort. Cette durée varie selon les individus, et peut atteindre plus de 85 jours.

« Dans les limites définies (jeûne inférieur à trois semaines chez une personne de corpulence normale) le jeûne ne présente pas de danger. »

(source Wikipedia)

J’ai jeûné pour mieux supporter ma chimio …

“J’ai eu un cancer du sein, il y a cinq ans, qui a nécessité six séances de chimiothérapie. Après chacune d’elles, durant quatre jours, j’étais très affaiblie et épuisée. Chirurgien-plasticien, j’étais dans l’incapacité d’exercer… Je restais chez moi, allongée, avec des nausées, de forts maux de tête, une intolérance à toute odeur de nourriture, un goût métallique dans la bouche, des aphtes et une constipation importante due aux antivomitifs.

En mai dernier, lorsqu’une récidive ganglionnaire a été diagnostiquée, avec le même protocole de chimiothérapie, j’ai cherché comment mieux les supporter. Je voulais rester active, travailler, prendre mon traitement à bras-le-corps, sachant que c’est d’autant plus difficile moralement que l’on connaît les effets secondaires que l’on va subir. J’ai beaucoup lu sur l’alimentation et le cancer, ainsi que sur l’effet du jeûne court, de deux ou trois jours, pratiqué avant les chimios, notamment les études menées aux États-Unis par le Dr Valter Longo. Étant médecin, cela m’a semblé logique de laisser le système digestif totalement vide avant une chimiothérapie, afin de prévenir les effets secondaires digestifs.

Mon oncologue était sceptique et peu favorable. Les oncologues redoutent que l’on perde du poids et que les forces nous manquent pour « tenir » face aux traitements. On s’est néanmoins mis d’accord pour que j’essaie. Jusqu’alors, je n’avais jamais jeûné de ma vie… Je ne suis pas une adepte et je considère d’ailleurs qu’au-delà de 48 à 60 heures, on peut se mettre en danger. À aucun moment, je ne l’ai envisagé comme un moyen de traiter mon cancer, mais comme une aide pour tenter à la fois de diminuer le plus possible les effets secondaires de la chimio et augmenter son efficacité sur les cellules cancéreuses.

Suite de cet article paru dans TOP SANTE:

https://www.topsante.com/medecine/cancers/cancer/j-ai-jeune-pour-mieux-supporter-ma-chimio-609054