jeûnes, diètes, cures, etc

L’Homme sait jeûner depuis des siècles, vous aussi, osez la frugalité !

Avant d’être dans notre civilisation d’abondance, l’Homme ne mangeait pas tous les jours : il avait tout intérêt, en période faste, à accumuler le plus possible de nutriments pour résister aux périodes maigres.

Et e nous avons maintenant le même organisme, qui accumule, qui accumule… et qui s’en rend malade.

Des dirigeants avisés ont depuis longtemps recommandé la frugalité sous forme d’interdits religieux ou de préconisations diététiques (cures de fruits, diètes hebdomadaires comme le carême, jeûnes plus ou moins encadrés).

Il y a encore une dizaine d’années, on ne donnait de valeur au jeûne que s’il durait  plusieurs jours, pratiquement entre une et trois semaines.

Ce qui a entraîné une opposition farouche du corps médical, et même des autorités (faire un jeûne, c’était une activité sectaire !).

Et puis se sont succédés de nombreux travaux qui ont montré de manière strictement scientifique, que le jeûne est en fait un phénomène naturel, bénéfique, sans danger, et qu’il n’est pas besoin de s’infliger des épreuves longue durée pour en tirer profit.

On les appellera régimes « saute repas », ou bien « diète du guerrier », ou bien  « 5-2 », ou bien encore « eat stop eat », ils sont réunis sous le terme de « jeûnes intermittents ».

Le but est d’incorporer ces jeûnes courts dans une vie normale, sans contrainte ni physique ni sociale, avec un apport minimal (en général : 500Kcal/jour) de nutriments (donc pas de jeûne « sec »).

Plus les périodes de restriction sont courtes (minimum : 18 heures, tout de même !), plus il faut les renouveler. Par exemple si on se limite à des jeûnes de 18 heures, il faudra les renouveler trois fois dans la semaine. S’il s’agit de jeûnes de 48 heures, il suffira de deux jeûnes par mois …

Ces jeûnes intermittents autorisent donc un apport bien mesuré (400 à 500 Kcal) au cours de la journée, sous forme de soupes, salades, fruits, tisanes.

Ce qui oblige à évaluer en permanence les rations ingérées (pas si simple !), et ce qui n’empêche pas les désagréments du ventre vide, ses crispations, ses phases de fringale, qui font le plus souvent abandonner les plus motivé(e)s…

Heureusement, il existe un moyen très simple d’effectuer ces petits jeûnes avec facilité et sans contrainte, c’est de profiter des effets des « raisins coupe faim ».

Pour vous procurer ces raisins magique, une seule adresse :

https://www.effervesciences.fr/21-osez-la-frugalite-